
Objectifs d’apprentissage
Dans cette activité, nous allons :
- approfondir nos connaissances sur l’histoire du jour du Souvenir
- explorer des exemples de membres des Forces armées canadiennes qui ont fait preuve de bravoure
- réfléchir à l’importance du jour du Souvenir et de la Journée nationale de commémoration
Le jour du Souvenir
Chaque année, le 11 novembre, les Canadiens commémorent le jour du Souvenir.

Découverte
Regarde la vidéo suivante des Forces armées canadiennes intitulée « L’importance du Souvenir », puis réfléchis aux questions suivantes :
- Pourquoi célèbre-t-on le jour du Souvenir ?
- À qui rend-on hommage lors du jour du Souvenir ?
La bravoure
« Le jour du Souvenir est une occasion de dire merci. »
– « L’importance du Souvenir », Forces armées canadiennes
Le jour du Souvenir sert à remercier les anciens combattants Personnes qui ont servi dans les forces armées. et les membres actuels des Forces armées canadiennes. On les remercie entre autres pour leur bravoure. Réfléchissons maintenant au sens du mot « bravoure ».

Réflexion
Réfléchis aux questions suivantes et consigne tes réponses en utilisant la méthode de ton choix.
- Que signifie pour moi le mot « bravoure » ?

Que signifie être brave ?
La bravoure peut se manifester par des gestes, peu importe leur taille. Voici quelques exemples de bravoure :
- les actions posées par les Forces armées canadiennes pour protéger notre pays
- défendre un ami
- admettre ses erreurs

Journal
Réfléchis à un autre exemple d’acte de bravoure, petit ou grand. L’exemple peut être à propos de toi, d’une personne que tu connais, ou d’un personnage tiré d’un livre, d’un film ou d’un autre média de ton choix.
Voici quelques exemples de questions auxquelles tu peux réfléchir :
- À quels défis la personne a-t-elle été confrontée ?
- De quelle manière a-t-elle fait preuve de bravoure ?
Consigne ta réponse à l’aide de la méthode de ton choix. Si tu veux, note ton exemple dans le Journal.


Clique sur le bouton « Activité » pour accéder au Journal : la bravoure

Comme expliqué dans la section « Activation », le jour du Souvenir honore les Forces armées canadiennes. Explorons maintenant une ligne du temps portant sur des événements historiques marquants et sur l’histoire du Canada en matière d’hommage aux anciens combattants.
Une ligne du temps d’événements historiques marquants
La ligne du temps suivante offre un aperçu des événements historiques marquants (et leurs dates) présentés dans cette activité d’apprentissage.

L’histoire du jour du Souvenir
Avant que le 11 novembre ne devienne officiellement le jour du Souvenir, les Canadiens rendaient hommage aux anciens combattants à différentes dates et de différentes façons.
L’histoire du jour du Souvenir remonte à plus de 100 ans. Clique sur les onglets suivants pour en apprendre davantage.
Avant la création du jour du Souvenir, certains Canadiens célébraient le jour de Paardeberg le 27 février de chaque année. Le jour de Paardeberg honorait les soldats canadiens ayant combattu dans la bataille de Paardeberg en Afrique du Sud pendant la guerre des Boers (de 1899 à 1902). Les vétérans célébraient en organisant des soupers ou des danses, et ils prenaient également le temps de rendre hommage aux soldats ayant perdu la vie lors de cette bataille.

La Première Guerre mondiale a affecté de nombreuses familles canadiennes. Plus de 650 000 Canadiens ont combattu dans la guerre, et plus de 238 000 ont été blessés ou tués. L’Armistice a ainsi été signé le 11 novembre 1918, mettant fin à la guerre. Après celle-ci, les Canadiens voulaient une façon de commémorer les membres de leurs familles et leurs amis ayant servi outre-mer. Dans les années 1920, les familles célébraient le jour de l’Armistice un lundi au début du mois de novembre. Généralement, les vétérans et leurs familles se réunissaient en privé autour des monuments commémoratifs ou des tombes des soldats pour rendre hommage à ceux tombés au combat.

Les cérémoniesDes actions faites dans le but d’honorer une occasion particulière. Certaines cérémonies sont des célébrations joyeuses, alors que d’autres sont plutôt sérieuses ou même tristes. publiques du jour du Souvenir sont devenues plus communes dans les années 1930. En 1931, le Canada a déclaré le 11 novembre comme étant le jour du Souvenir. Après la Deuxième Guerre mondiale, le jour du Souvenir est devenu une journée pour se rappeler tous ceux ayant servi dans la Première et la Deuxième Guerre mondiale.

Le jour du Souvenir est maintenant une journée pour honorer tant les anciens combattants que les membres actuels des Forces armées canadiennes. Le 11 novembre de chaque année, le Canada organise des cérémonies du jour du Souvenir.


Remue-méninges
Parmi les quatre événements mentionnés, identifie les causes de chacun de ces événements.
- Qu’est-ce qui est semblable et qu’est-ce qui est différent dans la façon de rendre hommage aux soldats au cours des 100 dernières années ?
- Comment le jour du Souvenir a-t-il changé d’un événement à un autre ? Quels événements ont causé ces changements ?
Portrait d’un soldat : Jacques Raymond
Jacques Raymond était soldat d’infanterie avec Le Régiment de la Chaudière quand il débarqua en Normandie, le 6 juin 1944. Durant onze mois, il participa ensuite à la libération de la France, des Pays-Bas et de l’Allemagne. Après la guerre, Raymond retourna à Trois-Rivières et s’impliqua grandement dans les associations vétérans de sa région. Jusqu’à son décès, à 97 ans, le vétéran faisait régulièrement les tournées des écoles du Québec et des voyages commémoratifs en Europe pour parler de ses expériences de la guerre au public. Pour sa longue contribution à faire perdurer la mémoire de la guerre au Québec et au Canada, Jacques Raymond s’est vu récompenser de divers prix par des associations locales et internationales, en plus de ses nombreuses médailles remportées pour son service militaire.
Cérémonies et symboles
Les cérémonies et les symbolesUn objet, une image, ou un signe qui représentent quelque chose. occupent une place importante dans les commémorations du jour du Souvenir.
Voyons quelques exemples de cérémonies et de symboles du jour du Souvenir.
Utilise les flèches pour naviguer entre les cartes. Clique sur le bouton audio pour entendre ce qui est écrit.


Le savais-tu ?
Ce ne sont pas tous les pays qui utilisent le coquelicot comme symbole du jour du Souvenir. Ailleurs dans le monde, d’autres fleurs sont utilisées pour commémorer les soldats. En France, c’est le bleuet (un type de fleur) qui est utilisé. À Terre-Neuve-et-Labrador, qui n’était pas encore une province canadienne lors de la Première Guerre mondiale, la tradition pour les citoyens est de porter le myosotis lors de leur jour du Souvenir (célébré le 1er juillet) en mémoire des anciens combattants de la Première Guerre mondiale.


Portrait d’un soldat : Harri Singh
Harri Singh est né à Amritsar en Inde, en 1882. En 1916, il s’est joint à l’Armée canadienne et a combattu en Europe lors de la Première Guerre mondiale. Malgré une blessure, Harri a survécu à la guerre, contrairement à plusieurs personnes de son groupe. À son retour, il est devenu concierge d’immeubles et a continué d’être un membre actif du régiment d’infanterie The Toronto Scottish Regiment. En tant que caporal-clairon, Singh a participé à des cérémonies militaires à Toronto en leur honneur. À l’occasion du jour du Souvenir de 1926, il a joué son clairon lors d’un hommage spécial à la paix en mémoire des soldats qui ne sont jamais rentrés à la maison.

Tu peux choisir d’en apprendre davantage sur le clairon et sur sa place lors du jour du Souvenir.

Découvres-en davantage
Regarde la vidéo suivante pour entendre un clairon joué lors d’une cérémonie du jour du Souvenir en 2020.
Les caractéristiques de la bravoure
Explorons maintenant quelques caractéristiques de la bravoure que l’on célèbre lors du jour du Souvenir.
En voici des exemples :
- Le courage : agir malgré la peur
- La résilience : s’adapter à des situations difficiles et surmonter les problèmes
- Le leadership : encourager les gens à donner le meilleur d’eux même et prendre en charge les décisions importantes
- L’intégrité : défendre ce qui est juste
- L’audacité : oser prendre des initiatives et relever des défis, même face à l’incertitude
- La compassion : aider ceux qui en ont besoin et penser aux autres avant soi-même

À toi maintenant !
Essayons de jumeler différentes situations aux caractéristiques de la bravoure.
Dans cette activité, tu dois choisir la situation qui correspond à chacune des caractéristiques.
Connais-tu des personnes qui ont fait preuve de bravoure ? Qu’est-ce qu’ils ont fait de brave, selon toi ?
L’hommage à la bravoure
Faire preuve de bravoure n’est jamais facile. Les membres de Forces armées canadiennes exercent leur métier dans des contextes très difficiles, par exemple pendant la guerre ou lors de catastrophes naturelles. Il faut beaucoup de courage pour risquer sa vie, mais les membres des Forces armées canadiennes le font pour protéger les Canadiens et des personnes de partout dans le monde.

Le savais-tu ?
La Croix de Victoria est décernée pour un acte de bravoure en présence de l’ennemi. C’est la plus haute distinction de bravoure attribuée par le Régime canadien de distinctions honorifiques. La première Croix de Victoria a été créée par la reine Victoria en 1856 pour récompenser des soldats pour leur courage pendant la guerre de Crimée. En tout, seulement 99 Canadiens ont reçu la Croix de Victoria, et aucune n’a été décernée depuis 1945. En 1993, le gouvernement du Canada a créé une version canadienne de la Croix de Victoria, qui a été officiellement produite en 2008.

Clique sur les onglets suivants pour connaître les récits de vétérans qui ont été récompensés pour leur bravoure.
Courage
Stephen Thomas est né à Scarborough en Ontario. En 2000, il a rejoint le 7th Toronto Regiment, Artillerie royale canadienne. En 2003, il est parti pour sa première mission en Afghanistan, et en 2005, il a rejoint The Queen’s Own Rifles. Le 3 octobre 2006, lors de sa deuxième mission en Afghanistan, il voyageait dans un convoi de véhicules à Kandahar quand soudainement, un des véhicules de son convoi a été attaqué et a pris feu. Le véhicule était rempli de munitions hautement explosives et de marchandises importantes. Accompagné de trois autres soldats, il a risqué sa propre vie et a rapidement commencé à décharger les munitions et la marchandise du véhicule. Peu de temps après s’être éloignés, le feu a envahi le véhicule, provoquant une explosion. Les actions de Thomas ont permis d’éviter une catastrophe et de sauver la vie de plusieurs soldats et civils. Pour cet acte de bravoure, il a reçu la Médaille de la bravoure.

Résilience
Robert et Tommy Wong étaient des frères d’une famille de 12 enfants. Ils sont nés à Nanaimo en Colombie-Britannique, et ont déménagé à Vancouver avant de finalement s’installer à Toronto.
Robert voulait devenir pilote depuis qu’il était enfant. À seulement 19 ans, Robert a piloté son premier avion que Tommy et lui avaient construit ensemble. Au moment où la Deuxième Guerre mondiale a éclaté, les Canadiens d’origine chinoise n’avaient pas le droit de s’enrôler dans l’Aviation royale canadienne (ARC). Cela ne les a toutefois pas empêchés de servir leur pays.
Alors que Robert étudiait l’ingénierie de maintenance au Parks Air College en Illinois, il a été rappelé au Canada et a manqué sa remise des diplômes. Il a servi dans le programme d’entraînement aérien du Commonwealth britannique en tant que mécanicien de bord civil et de pilote d’essai pour l’ARC. Au fil du temps, les règles relatives à l’enrôlement des Canadiens d’origine chinoise ont changé et Tommy a pu devenir pilote pour l’ARC. Après la guerre, les frères ont ouvert une école de pilotage à Toronto, qui est devenue la plus grande école de pilotage au Canada. Plus de 8 000 pilotes y ont été formés. Ayant aidé à établir des normes de formation et de sécurité pour les pilotes, Robert et Tommy sont considérés comme des leaders dans le domaine de l’aviation au Canada. En 2024, ils ont été intronisés au Panthéon de l’Aviation du Canada.


Leadership
Le lieutenant-général Jocelyn Paul est né à Wendake, au Québec, et fait partie de la Nation huronne-wendat. Il s’est enrôlé dans l’armée comme réserviste en 1988, puis en 1991, il a été transféré dans l’armée régulière en tant que membre du Royal 22e Régiment. En 1993, il a été chef de peloton lors d’une mission de maintien de la paix en Croatie. En 2011, il a reçu la Croix du service méritoire pour son service en tant que commandant de groupement tactique en Afghanistan. Sa distinction mentionnait : « Son commandement remarquable de son unité a assuré le succès de celle-ci, a fait progresser les efforts internationaux en Afghanistan et a fait grandement honneur au Canada et aux Forces canadiennes ». En 2022, il est devenu le premier officier autochtone à être nommé commandant de l’Armée canadienne. Avant de prendre sa retraite en 2024, il était le membre autochtone le plus haut gradé des Forces armées canadiennes.

Intégrité
Marguerite « Peggy » Downes est née à Dartmouth en Nouvelle-Écosse en 1939. Après le secondaire, elle s’est enrôlée dans le Corps royal d’intendance de l’Armée canadienne à Halifax en tant que chauffeuse. En 1956, elle a déménagé à Toronto et a rejoint la Force de réserve. Grâce à son travail et sa détermination, elle est devenue majore, et par le fait même, l’une des femmes noires les plus hautes gradées au Canada. Durant ses 45 ans passés dans la Force de réserve, elle a occupé de nombreux postes, tels que commandante adjointe du 709 Toronto Communications Regiment et agente administrative du Queen’s York Rangers Army Cadets.
Elle a été aide de camp honoraire pour cinq lieutenants-gouverneurs de l’Ontario, en plus d’être la première femme noire à occuper ce poste. En 1988, elle a reçu l’Ordre du mérite militaire et était impliquée auprès de plusieurs organismes communautaires, dont la chorale Voices of Joy. Elle croyait en l’importance d’aider les autres et agissait à titre de mentore pour plusieurs personnes. Femme de convictions, selon elle, il fallait toujours faire son possible, se fixer des objectifs et ne jamais avoir une attitude défaitiste.

Audace
Albert Mah est né le 21 novembre 1920 en Colombie-Britannique. À 18 ans, il part pour la Californie pour apprendre à piloter des avions. Il cherche à s’enrôler avec l’Aviation Royale Canadienne (ARC) en 1940, au déclenchement de la guerre, mais est refusé du fait qu’il soit d’origine chinoise. Sans se décourager, Mah part pour Edmonton où il rejoint Wop May : un as de la Première Guerre mondiale. Peu de temps après, Mah est transféré à Québec où il devient instructeur de vol. Là-bas, il forme différents pilotes sur comment mener des vols de reconnaissance et bombarder des positions.
En 1943, Mah est contacté par Pan-American Airways pour devenir pilote au civil, en Inde. Beaucoup mieux payé qu’au Québec, ce poste lui demanderait cependant de faire des voyages de ravitaillement entre l’Inde Britannique et la Chine, alors en guerre contre le Japon. D’abord hésitant, Mah n’accepte seulement que lorsqu’il apprend que sa sœur est prise dans la portion chinoise occupée militairement par le Japon. Après un premier voyage en Chine, il réussit alors à sortir sa jeune sœur Bernice, à l’insu des troupes japonaises.
Jusqu’à la fin de la guerre, Mah continua à ravitailler l’armée nationaliste chinoise à partir de l’Inde. Même s’il était officiellement un pilote au civil, ses voyages avaient leur lot de risques ! Comme il témoigna des années après, il arrivait occasionnellement que des avions japonais le prenaient en chasse. Au total, Mah complète 420 missions avant de retourner au Québec. Après la guerre, il reprend son travail d’instructeur d’avion à l’aéroport de St.-Hubert et continua à voler fréquemment jusqu’à sa retraite.

Compassion
Jessie Chenevert (Urquhart) est née à Ottawa, en Ontario, en 1922. Après avoir été bénévole auprès de la Croix-Rouge, elle a suivi une formation d’infirmière à Brockville. Durant la guerre de Corée, son frère Bob a été envoyé outre-mer. Comme elle s’inquiétait pour son frère et voulait garder un œil sur lui, elle s’est enrôlée dans le Corps médical de l’armée canadienne.
Bien que son frère et elle n’aient finalement pas servi en même temps, Jessie a été envoyée en Asie en 1953, et est devenue l’une des 60 femmes canadiennes à servir outre-mer durant la guerre de Corée. Elle a servi au Japon et en Corée à la 25 Field Dressing Station, où elle s’occupait des membres des Forces armées blessés ou malades. Après la guerre, elle est restée dans l’armée et est devenue directrice des soins infirmiers du Centre médical de la Défense nationale.


Réflexion et partage
Selon toi, les anciens combattants des récits précédents ont-ils manifesté d’autres caractéristiques de bravoure ? Si oui, lesquelles ?
Quelles sont les conséquences de ces gestes de bravoure et quelles traces sont encore présentes aujourd’hui ?
Si possible, discutes-en avec un autre élève.
Anciens combattants autochtones
Combien de membres inscritsPremières Nations reconnues par le gouvernement. des Premières Nations se sont bravement enrôlés dans l’armée pendant la Première Guerre mondiale ?
Clique sur Réponse pour le découvrir.
Réponse
Plus de 4 000 membres inscrits des Premières Nations se sont bravement enrôlés dans l’armée pendant la Première Guerre mondiale. Toutefois, un nombre encore plus élevé d’Autochtones non inscrits au Canada ont aussi répondu à l’appel.
Regarde la vidéo suivante pour en apprendre davantage sur les braves anciens combattants autochtones.

Dans cette activité d’apprentissage, nous avons exploré :
- l’importance du jour du Souvenir
- l’histoire du jour du Souvenir
- des histoires de bravoure de membres des Forces armées canadiennes

À toi maintenant !
Complète le jeu-questionnaire suivant pour évaluer ta compréhension de l’activité d’apprentissage.
Pour chaque question, sélectionne la bonne réponse, puis clique sur Vérifier pour voir ton résultat.
Si tu souhaites aller plus loin dans tes apprentissages, effectue l’activité suivante.

Découvres-en davantage
Dans cette activité, nous avons exploré le poème « In Flanders Fields » de John McCrae.
Compose ton propre poème sur le jour du Souvenir. Note un poème à l’aide de la méthode de ton choix. Si tu préfères, tu peux utiliser des outils de transcription automatique ou d’enregistrement vocal.
Tu peux créer un poème en acrostiche, en vers libres ou dans un autre format de ton choix.
Voici des exemples :

Sources du module « Souvenir et bravoure »

Bannière de la section « Activation » : Jour du Souvenir : Cénotaphe de l’ancien hôtel de ville, Jose San Juan, City of Toronto Archives Fonds 219, Series 2311, File 3235, Item 23, URL, publié le 11 novembre 2001 et consulté le 9 août 2024.

Bannière de la section « Action » : Clairon Matelot de 2e classe Frank Poppy NCSM DISCOVERY, Bibliothèque et Archives Canada, URL, eCopy, publié en 1944 et consulté le 2 juillet 2024.

Bannière de la section « Approfondissement » : Membres du QOR embarquant dans un avion, Queen’s Own Rifles of Canada Regimental Museum, URL, publié le 16 septembre 2023 et consulté le 9 août 2024. Reproduit avec autorisation.

L’importance du Souvenir, Forces armées canadiennes, gouvernement du Canada, URL, publié le 11 novembre 2017 et consulté le 28 juin 2024. Cette reproduction est une copie d’un document officiel publié par le ministère de la Défense nationale (min DN) et les FAC ; la reproduction n’a pas été faite en association avec le min DN ou les FACS ni avec l’appui de ceux-ci.

Jour de Paardeberg (1912), Royal Canadian Regiment, Catalogue no. 2020.001.008, URL, publié en 1912 et consulté le 28 juin 2024. Image reproduite avec l’autorisation du musée RCR.

Service de l’Armistice, femme déposant une couronne, fonds du Globe and Mail, City of Toronto Archives, Fonds 1266, Item 15385, URL.

Le très honorable W. L. Mackenzie King dépose une couronne lors de la cérémonie du jour du Souvenir sur la Colline du Parlement, Bibliothèque et Archives Canada, PA-127563, URL, publié le 11 novembre 1937 et consulté le 28 juin 2024.

Des participantes déposent une couronne de la part de la Fondation Vimy au Parc du Souvenir à Verdun, Montréal, en 2024, Fondation Vimy, URL, publié le 12 novembre 2024 et accédé le 29 juillet 2025. Avec la permission de la Fondation Vimy.

Jacques Raymond, Projet Mémoire, Historica Canada, URL, publié le 3 août 2022 et consulté le 3 septembre 2025. Avec la permission de Historica Canada.

Cénotaphe d’East York par W. H. Smith monuments, monuments de guerre de la ville de Toronto : East York Civic Centre, Jose San Juan, City of Toronto Archives Fonds 219, Series 2311, File 2811, Item 19, URL, publié le 22 septembre 2009 et consulté le 2 juillet 2024.

Des coquelicots qui poussent en France, Queen’s Own Rifles of Canada Regimental Museum, URL, publié s. d. et consulté le 2 juillet 2024. Reproduit avec autorisation.

Au champ d’honneur, écrit par le colonel John McCrae, de Guelph, Ontario, Canada, Collection Baldwin de Canadiana, Collections numériques de la Toronto Public Library. URL, publié vers 1921 et consulté le 2 juillet 2024.

Pose de couronne de fleurs, Queen’s Own Rifles of Canada Regimental Museum, URL, publié le 9 juillet 2022 et consulté le 2 juillet 2024. Reproduit avec autorisation.

Clairon Matelot de 2e classe Frank Poppy NCSM DISCOVERY, Bibliothèque et Archives Canada, eCopy, URL, publié en 1944 et consulté le 2 juillet 2024.

Dépôt de couronnes du Toronto Catholic School Board, Jour du Souvenir : cénotaphe de l’ancien hôtel de ville, Jose San Juan, City of Toronto Archives Fonds 219, Series 2311, File 2911, Item 20, URL, publié le 11 novembre 2010 et consulté le 2 juillet 2024.

Parade du Jour du Souvenir à Montréal en 1983, Musée du RMR, 2016x.33.51, URL, consulté le 25 juillet 2025.

Bleuet de France novembre 2013, Claude Truong-Ngoc, URL, publié le 1er novembre 2013 et consulté le 2 juillet 2024. Reproduit avec autorisation.

Myosotis arvensis, AnRo0002, URL, publié le 11 mai 2016 et consulté le 2 juillet 2024. Utilisé sous la licence Creative Commons CC0 1,0 Universal Public Domain Dedication.

Harri Singh, Toronto Scottish Regiment, URL, publié en mai 1939 et consulté le 2 juillet 2024. Reproduit avec autorisation.

2020 Croix du Sacrifice du Jour du Souvenir, Queen’s Own Rifles of Canada Regimental Museum, URL, publié le 14 novembre 2020, consulté le 2 juillet 2024. Reproduit avec autorisation.

La Croix de Victoria décernée au Lieutenant Cdr. R. Bourke, Bibliothèque et Archives Canada, No d’acquisition 1996-247-1/e011196563, URL, publié s. d., consulté le 2 juillet 2024.

Portrait de Stephen Thomas, Queen’s Own Rifles of Canada Regimental Museum, URL, publié le 22 mai 2012 et consulté le 2 juillet 2024. Reproduit avec autorisation.

Portrait de Robert Wong, la famille Wong, publié s. d. et consulté le 2 juillet 2024. Reproduit avec autorisation.

Portrait de Tommy Wong, la famille Wong, publié s. d. et consulté le 2 juillet 2024. Reproduit avec autorisation.

Jocelyn Paul, Commandant de l’Armée canadienne, Armée canadienne – ministre de la Défense nationale, gouvernement du Canada, Reproduit avec autorisation.

Marguerite “Peggy” Downes, Black Canadian Veterans, URL, publié s. d. et consulté le 2 juillet 2024. Reproduit avec autorisation.

Albert Mah, Anciens Combattants Canada, URL, publié le 25 janvier 2022 et consulté le 22 juillet 2025.

Jessie Chenevert lors d’une cérémonie en l’honneur de la création d’une rue portant son nom à Ottawa, Scott Taylor, URL, publié le 10 juillet 2023 et consulté le 2 juillet 2024. Reproduit avec autorisation.

Moments commémoratifs – les vétérans autochtones, Anciens Combattants Canada, gouvernement du Canada, URL.
