Mentorat – Formation et diplomatie

Rôles

Protection rapprochée

Les soldats accompagnaient l’ambassadeur où qu’il aille : au palais présidentiel, au Parlement, à d’autres ambassades, dans des écoles et des entreprises, et même à des rencontres avec des seigneurs de guerre locaux. Ils devaient être prêts à bouger à tout moment, puisque l’ambassadeur était souvent invité à des événements ou à des rencontres avec peu de préavis. En outre, ils représentaient l’ambassade et devaient être vigilants, mais polis lorsqu’ils parlaient à des habitants ou à d’autres responsables de la sécurité.

Une question de confiance

Les instructeurs canadiens affectés en Afghanistan ont rencontré plusieurs obstacles culturels en enseignant à l’Armée nationale afghane. Danny explique qu’il a dû non seulement adapter son mode de vie, mais aussi faire ses preuves pour gagner la confiance des soldats afghans qu’il formait.

Confort

Les soldats qui étaient déployés pour protéger l’ambassadeur en Afghanistan vivaient à l’ambassade dans des conditions très confortables, où une chambre individuelle et les repas leur étaient fournis. Flickinger nous raconte comment ces conditions contrastaient avec celles de son affectation précédente.

Le retour au Canada

Être affecté en Afghanistan était mentalement exigeant, puisqu’il fallait toujours être conscient de son environnement. Même si les soldats ne travaillaient pas sept jours par semaine, ils n’avaient jamais complètement l’esprit tranquille. C’est pourquoi ils avaient besoin d’une période d’adaptation en retrouvant le confort de leur vie au Canada.